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TIPS BUSINESS
Les 3 piliers de la franchise : la marque, le savoir-faire et l'assistance
Dans leur accompagnement en matière de gestion commerciale, les experts Ad and Co’ soulignent l’importance de l’anglais des affaires – que ce soit pour chercher de nouveaux clients, pour accueillir de nouveaux actionnaires, pour promouvoir son activité à l’étranger, etc. Quel que soit le profil de votre entreprise, ce n’est que confrontés à la situation, que les employés et la direction réalisent leur besoin de s’y former. Et pourtant… L’omniprésence de l’anglais dans le vocabulaire des affaires Première langue parlée dans le monde en 2022, devant le mandarin et l’hindi, l’anglais s’invite de plus en plus dans le quotidien des affaires. Et cela, quel que soit votre domaine d’activité ! En effet, le vocabulaire anglais est très présent et s’utilise même tel quel en français, impliquant que chaque interlocuteur soit bien au fait de sa signification. Aujourd’hui, une entreprise est amenée à optimiser son SEO (Search Engine Optimization), identifier son « buyer persona » pour « prendre le lead » sur son marché. Les secteurs du commerce, du marketing, des technologies ou encore celui des ressources humaines regorgent d’anglicismes, tellement intégrés dans le discours français, qu’ils doivent impérativement être rapidement maîtrisés par tous. L’omniprésence de l’anglais dans les ressources L’agence Statista a révélé qu’en 2022, 63 % des sites web étaient édités en anglais. Même si cette langue n’est parlée que par 26 % des utilisateurs d’Internet, elle domine nettement la toile. De nombreuses ressources, indispensables au travail de veille dans une entreprise, sont délivrées en anglais. Dès lors, tous les visiteurs qui n’en maîtrisent pas le vocabulaire passent à côté de précieuses informations pour soutenir le développement de leur activité. Pour info, 8 des 10 plus grandes entreprises du monde en 2024 sont issues de pays anglophones – à savoir Apple, Microsoft, Google, Amazon, Berkshire Hathaway inc., Tesla, Meta et Visa. L’anglais, la compétence clé pour s’ouvrir de nouvelles perspectives Malgré cette prépondérance de l’anglais dans les affaires, seulement 28 % des Français déclarent le comprendre et le parler (sondage IFOP de 2021)[1]. Pourtant, il s’agit d’une condition sine qua none pour agir dans un contexte international ou simplement améliorer la compétitivité et la notoriété de son entreprise. À une échelle plus individuelle, cela permet de soutenir le développement de votre carrière. Il existe de nombreuses situations professionnelles où l’anglais peut s’inviter : la réalisation d’une présentation en anglais à des collaborateurs étrangers, la participation ou l’écoute d’un webinaire, des échanges téléphoniques ou en visio, une gestion de projet avec un partenaire anglophone, etc. Toutes ces situations supposent de maîtriser aussi bien la compréhension de l’anglais à l’oral qu’à l’écrit. Heureusement, il existe des solutions pour pallier ces manquements : contactez les experts Ad and Co’ pour déléguer certaines tâches – notamment celles de traduction ; sollicitez votre service RH pour demander à suivre une formation en anglais professionnel grâce à votre CPF (Compte Professionnel de Formation). N’attendez pas de vous retrouver dans une situation délicate, adoptez une démarche pro-active et lancez-vous dans l’apprentissage de l’anglais des affaires !
TIPS BUSINESS
Indépendants : pourquoi avez-vous besoin d'un réseau professionnel ?
En tant que chef ou gérant d’entreprise, vous vous posez la question de l’achat d’un véhicule de société : est-ce une option intéressante pour vous ou, au contraire, risque-t-elle de peser sur vos finances ? Retrouvez les principaux atouts – et les inconvénients – de cette pratique, pour savoir si elle vous profitera ou non. Une voiture intégralement financée par l’entreprise Toutes les entreprises peuvent acquérir une voiture en leur nom, et imputer sur leur société l’intégralité des frais liés. Seuls les auto-entrepreneurs et micro-entrepreneurs sont exclus, parce qu’ils n’ont pas de véritable gestion comptable. Cette automobile pourra aussi bien être achetée neuve en concession que d’occasion auprès d’un particulier : le chef d’entreprise reste totalement libre de ses choix. Le coût sera supporté par la société, et donc déductible au même titre que tous les frais de base. De plus, de nombreux autres éléments seront pris en charge par l’entreprise, et non par l’utilisateur : L’assurance automobile Les opérations d’entretien Toutes les réparations ainsi que les révisions et autres contrôles techniques Enfin, autre avantage intéressant (dont il ne faut toutefois pas abuser), le retrait des points en cas d’infraction se révèle beaucoup plus compliqué, et n’est souvent pas applicable. En effet, l’amende sera naturellement payée par l’entreprise, mais s’il n’est pas possible d’identifier immédiatement le responsable de l’infraction, les autorités peuvent renoncer à sanctionner le détenteur du permis de conduire et laisser tous les points. Attention aux abus : elles peuvent chercher à en savoir plus et exposer la société à de plus lourdes peines – il reste primordial d’adopter un comportement responsable sur la route ! À quels inconvénients faut-il s’attendre avec une voiture de société ? Avant toute chose, ne surestimez pas les déductions fiscales liées à l'utilisation d’une voiture de société : cet achat est associé à un traitement particulier qui ne vous profite pas réellement. Vous ne réduirez pas réellement vos impôts par cette intermédiaire : si c’est ce que vous visez, privilégiez d’autres stratégies. Très concrètement, l’amortissement dépend de la date de mise en circulation et des émissions de CO². Les véhicules très polluants coûtent beaucoup plus cher aux entreprises à terme que les voitures récentes, hybrides ou électriques par exemple. De plus, il existe une taxe sur les véhicules de société (TVS) que l'on calcule en fonction des rejets de CO² et qui peut dépasser les 8 000 € par an. Sans compter que, pour la voiture (achat et entretien), contrairement aux autres dépenses, vous ne récupérez pas la TVA (sauf pour l’achat de GPL où l’on vous rembourse 100 % de la TVA – 80 % pour les gazoles et le superéthanol E85). Enfin, l’usage d’un véhicule de fonction est un avantage en nature qu’il faut déclarer et qui implique le paiement d’impôts et cotisations. Vous ne savez pas si l’achat d’un véhicule de fonction ou le recours à la déclaration des frais kilométriques peut vous profiter en tant que gérant ? Ad and Co’ vous accompagne dans votre gestion d’entreprise et vous délivre des conseils adaptés à vos besoins. Si vous effectuez un achat, nous pouvons également faire les déclarations pour vous !
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